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Un manager au coeur de l'entreprise - Frédéric Fougerat / Studyrama

2 novembre 2017

INTRODUCTION - UN MANAGER AU COEUR DE L'ENTREPRISE

Dans un monde professionnel où la règle est, avant tout, de paraître (fort, beau, efficace…), Frédéric Fougerat plonge au coeur de l'humain et parle de ce que vivent réellement les hommes et les femmes dans l’entreprise. Tout ce qui est écrit dans ce livre est vrai.

Frédéric Fougerat a la faculté de mettre des mots sur des sentiments, ou sur des situations vécues, et libère la parole de celles et ceux qui ont trop souvent peur de parler, au risque de paraître faibles ou ridicules. Il partage ses émotions parfois joyeuses, souvent furieuses !

Au fil de tribunes publiées dans la presse et partagées sur les réseaux sociaux, son territoire de prédilection, est né ce livre, Un manager au cœur de l’entreprise, publié aux éditions Studyrama (disponible sur le site de l’éditeur, à la Fnac, chez Decitre, sur Amazon…).

Sortie le 15 décembre 2017 -  Prix 18,90 € - Préface de Philippe Salle, président du groupe Foncia, ancien PDG des groupes Altran et Elior.

Frédéric Fougerat est un autodidacte qui a accédé très jeune à des responsabilités pour se retrouver, après 30 ans d’activité, directeur de la communication d’Elior Group, leader mondial de la restauration dans lequel son père fut chef cuisinier.

Pour Frédéric Fougerat : « il y a ceux qui parlent de l'entreprise, et qui ne la connaissent pas, et ceux qui vivent l'entreprise et qui ne s'expriment pas ».

Avec Un manager au cœur de l’entreprise, Frédéric Fougerat est à la fois acteur et observateur de l'entreprise partageant son expérience au coeur de l'entreprise, sa vision des relations humaines, ses espoirs et ses colères, à travers une succession de tribunes qui parlent à celles et ceux qui vivent l'entreprise au quotidien.

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2 novembre 2017

BONNES FEUILLES

Avant-propos

 

(Page 9)

 

Le besoin de m’exprimer et de partager est tout aussi fort que ma passion d’observer les gens dans la rue ou le métro, mes pairs comme mes collaborateurs dans l’entreprise.

Observer les comportements, les attitudes, les réactions, les stratégies d’influence personnelles et collectives, les énergies, les forces et les faiblesses, l’engagement et la motivation, la sévérité, la sérénité, la dureté, les calculs, la hauteur, les mesquineries ou la médiocrité des uns et des autres sont autant d’images, de mots et de mouvements qui m’inspirent, me nourrissent, alimentent mes convictions ou mes doutes, précisent mes observations, renforcent mes intuitions et enrichissent mon expérience.

Communiquer, c’est partager du contenu et des émotions. En tant que communicant, j’ai assurément une passion pour les émotions à susciter, recevoir ou partager ; j’ai aussi le goût des autres, de leurs attitudes, de leurs regards, de leur parole, de leur façon d’être et de paraître. J’aime écouter les paroles et les silences, entendre ce qui n’est pas dit, être disponible et attentif aux besoins de se confier, de partager… toujours partager.

 

 

Préface de Philippe Salle, président du groupe Foncia

(Page 11)

La réussite ne peut pas être un one-man-show. Elle est toujours collective. 

  

 

Je dis bonjour, suis-je normal ?

(Page 77)

Rencontres de collaborateurs dans l'ascenseur, tournée des bureaux de mon service, premiers mails... Ma première action de la journée consiste généralement à saluer les personnes rencontrées. Mais, cela semble parfois surprendre. Je dis bonjour, suis-je normal ? 

La civilité ou le savoir-vivre désigne un ensemble de règles de vie en communauté telles que le respect d'autrui, la politesse ou la courtoisie. La première des civilités dans l'environnement professionnel, par exemple, serait donc de dire bonjour en croisant un collègue ou un collaborateur, ou en rédigeant un premier mail. C’est naturellement ce à quoi je m’emploie au quotidien. Pourtant, les réactions peuvent parfois être inattendues, mêlées d’étonnement et de surprise, parfois d’interrogations, comme si la politesse n’était plus une évidence dans les relations humaines, notamment en collectivité, ou si tout acte gratuit pouvait paraitre suspect et cacher une intention inavouable.

 

Comment bien manager par la terreur ?

(page 117)

Cette description du manager sans charisme ni générosité, reflète la réalité de personnes perturbées et perturbantes, de responsables non formés au management, d'individus sans élégance ni scrupules.

Le manager de la terreur est généralement un faible. Il manque d'assurance. Il a peur des autres, de l'initiative, de la créativité, du changement. Toute expertise, qu'il devrait appeler de ses vœux pour compléter la sienne, est rejetée pour ne pas lui faire ombrage. Seule son image compte, son prestige et sa gloire. Mieux vaut, pour lui, faire illusion qu'avouer une faiblesse. Paranoïaque en puissance, il n'accorde pas sa confiance et ne sait pas déléguer. Il s'attache aux détails, aux petits fonctionnements, au court terme, au lieu de se consacrer avec vision à la stratégie et au pilotage de ses équipes. La dévalorisation psychologique est son arme consciente ou inconsciente. Malgré cela, trop souvent, ses résultats, ou plutôt ceux de son équipe, lui permettent de durer, toute en flirtant avec l'intolérable au plus grand mépris de l'humain et de son entreprise.

 

Etre une femme n'est pas une option !

(Page 89)

Le simple refus, par une femme, de féminiser sa fonction professionnelle ne participe-t-il pas directement à renforcer le sexisme dans une société culturellement machiste, qui n’évoluera jamais sans le concours des premières intéressées ? Les femmes sont-elles responsables, complices ou victimes du traitement qui leur est réservé ?

Il est encore fréquent de voir des femmes se faire appeler « Madame le directeur », pour ne citer qu’un exemple.Certaines expliquent même, avec le plus grand sérieux, qu’elles n’aiment pas les fonctions au féminin, supposées les priver d’une part d’autorité ou de prestige. Dans le même temps, d’autres luttent pour imposer le respect de la féminisation de leur titre : « Madame la présidente » et non « Madame le président ». La situation paraît parfois tellement compliquée que certaines entreprises proposent aux femmes de choisir le genre de leur fonction, comme si être une femme était une option. A l’inverse, personne n’aurait l’idée de laisser un homme choisir le genre de son titre : « monsieur la vice-présidente » ou « le vice-président » ? Chacun et chacune trouverait évidemment la suggestion ridicule.

 

Faut-il parler franglais pour paraître plus business ?

(Page 72)

 

Peu importe la taille de l’entreprise, le service concerné ou les sujets à l’ordre du jour. Aujourd’hui, il est de plus en plus difficile de ne pas être enseveli sous une avalanche de termes anglais dans un échange professionnel. 

Nous utilisons quotidiennement sans même nous en rendre compte des mots comme deadlinebenchmarkhomepagetoolkitbrainstorm…Pourtant, la plupart possède un ou plusieurs équivalents dans la langue française. L’abus de franglais dissimule-t-il un manque de fond ? S’agit-il d’une simple posture, plutôt ridicule ? Peut-il constituer un handicap social, par manque d’empathie ou par mépris envers ses interlocuteurs ?

 

« J’ai checké : il y a un meeting en confcall, plug-toi pour les incentiver sur les KPI, ça aidera la team à être awardée ! ». Si cette phrase n’est pas une citation directe, elle n’est pas non plus une exagération grossière. Elle illustre simplement le ridicule d’une situation que chacun(e) rencontre à longueur de journée : des francophones qui inondent leurs phrases d’expressions anglophones.

 

Mon patron est génial, je le garde ! 

(Page 60)

Rien n’est plus difficile pour un manager que de recruter et de constituer une équipe de collaborateurs. Quant à savoir choisir son patron, c’est une question qui se pose rarement, et qui pourtant n’est pas plus simple. Alors si votre patron est brillant, pourquoi ne pas le suivre quand il bouge ? Si votre patron est génial, pourquoi, tout simplement, ne pas le garder ?

La caricature est ancienne, souvent dépassée, mais toujours bien ancrée dans l’inconscient collectif, parfois aussi entretenue par ceux qui pourraient en tirer un avantage politique ou commercial… Elle tient en cinq mots : "« Mon patron est un con !»

Si vous n’avez jamais prononcé cette phrase, vous l’avez sûrement déjà entendue. C’est un fait : l’image du patron est rarement positive dans les représentations publiques. Le patron est tout ou trop puissant, il est dur et intraitable, il joue généralement le rôle du méchant...

Comme on ne parle que des dizaines de trains qui arrivent en retard et jamais des dizaines de milliers qui arrivent à l’heure, on parle toujours des mauvais patrons (l’employé, lui, serait d’ailleurs toujours formidable !).

 

Conclusion

(Page 215)

Etre manager, c’est peut-être comme être parent. Nous ne sommes pas tous programmés pour l’être ; nous n’y sommes jamais suffisamment préparés ; nous devons faire face aux circonstances, aux réalités de la vie ; Nous devons donc nous y adapter et faire de notre mieux. 

L’observation et l’écoute sont probablement les meilleurs moyens de s’ouvrir et de découvrir, de comprendre les situations, et les relations humaines dans leur diversité et leur complexité. Au minimum de tenter d’analyser ce qui fonctionne et ce qui assurément ne fonctionne pas.

Plus simplement, le bon sens est souvent le meilleur des conseillers, avec l’expérience.

2 novembre 2017

BONNES FEUILLES - FOCUS COMMUNICATION

Un directeur de la communication n'est pas un démocrate

(Page 66)

Diriger la communication d'une entreprise n'est pas un exercice démocratique. Il ne s'agit pas de chercher à plaire au plus grand nombre ou à créer un consensus autour de soi. Une bonne communication n'est d'ailleurs pas nécessairement celle qui va faire plaisir, mais celle qui sera efficace.

Un directeur ou une directrice de la communication ne doit donc pas avoir pour première qualité d'être un démocrate. Ce doit être un décideur, capable d'avoir une vision globale, et de mettre en œuvre une stratégie pour atteindre des objectifs. Il est question de l'image et la réputation de l'entreprise, dont l'impact sur ses activités ne doit pas être sous-estimé.

 

La communication est-elle un vrai métier ?

(Page 159)

Lien vers cette tribune en vidéo

Si la communication est une des fonctions les plus fantasmées, désirées ou détestées, c’est surtout un écosystème de métiers qui évolue à très grande vitesse, principalement depuis l’explosion du numérique, et qui se transforme chaque jour. C’est une fonction qui s’est tardivement professionnalisée et qui exige toujours beaucoup de pédagogie, tellement elle semble insuffisamment connue, autant de la part de ceux qui pourraient la réduire à un gadget coûteux et futile, que d’autres qui s’imagineraient compétents pour l’exercer. Même les fiches métiers des organismes d’orientation, les formations proposées par certaines écoles, les références professionnelles des cabinets de recrutement ou des services RH sont dépassées.

«La communication n’est pas la variable d’ajustement de l’inorganisation des autres ». 

C’est un vrai métier, rigoureux et de labeur. Un métier de disponibilité vis-à-vis des autres, où on ne compte pas son temps, ni ses soirées, ni ses week-ends. C’est un métier avec des pans artistiques qui permettent aux créatifs de s’exprimer, et des pans juridiques, techniques, logistiques qui imposent connaissance et respect de règles et de processus. C’est un métier qui bénéficie de plus en plus d’outils de diffusion, de promotion, de veille, mais un métier dont les résultats ne peuvent pas être scientifiquement garantis, et qui conserve une part d’incertitude, liée autant aux aléas de l’humain, qu’à ceux de la technique, de l’actualité, de la météo, de la politique, sans parler d’informations ou d’évènements concurrents imprévisibles…

2 novembre 2017

BONNES FEUILLES - FOCUS RH

C'est quoi un leader ?

(Page 113)

Qui ne s'est jamais étonné de voir un stagiaire, nouvellement arrivé, capter tout l'intérêt et l'attention d'une équipe, un jeune cadre séduire tout un service par son éloquence et son aisance ? Le leader n'a pas d'âge. Il n'a d'ailleurs ni sexe, ni couleur, ni force ou handicap particulier. C'est un leader ! C'est celui ou celle qui dispose d'une autorité personnelle, morale ou professionnelle qui s'impose et en impose. Qui impose le respect, l'écoute, l'intérêt, l'admiration. Qui peut susciter des jalousies, des craintes, des frustrations, mais qui en même temps semble indispensable donc incontestable.

Le leader n'est donc pas celui ou celle qui accède à la fonction de chef, mais la personnalité qui dispose d'une capacité exceptionnelle à porter, motiver et faire avancer l'équipe.

 

Faut-il humilier pour exister ?

(Page 98)

Qu'il s'agisse de racisme ordinaire, de comportement anti-jeunes ou anti-vieux, de sexisme primaire… il est si facile de prétendre faire de l'humour pour se justifier. Pour fuir ses responsabilités, il est même classique de reprocher à ses victimes de manquer d'humour, voire d'être susceptibles et de leur en faire le reproche. Quel extraordinaire moyen de retourner une situation en affichant toujours plus de mépris vers celles et ceux qu'y auront été affectés par des propos assurément non professionnels.

Il est inutile de tenter de reclasser son ironie ou son mépris en humour. Inutile de prendre son interlocuteur pour un imbécile. Il ne l'est pas. Et de toute évidence, il est plus intelligent de partir de cet a priori ! 

Il est également préférable de ne pas confondre sa propre susceptibilité avec celles des autres. C'est probablement confortable, mais irresponsable.

Il est intéressant de noter que ce sont généralement les personnes les plus susceptibles qui ont la capacité de reprocher aux autres de l'être. C'est d'ailleurs assez traitre pour qui sait l'observer !

 

Comprendre les collaborateurs de demain

(Page 152)

La génération connectée est aussi beaucoup plus exigeante que les précédentes. Génération du share et du like, elle ne s’implique que si l’intérêt est réel, et son approbation à valeur d’adhésion. Habituée à ce que tout soit toujours disponible, la réactivité et la rapidité font partie de son mode de fonctionnement, mais aussi, en retour, de ses attentes.

La quête de sens et d’expérience prime souvent sur la rémunération, et le goût du défi et la soif d’apprendre dominent. L’entreprise ne peut plus ignorer cette nouvelle donne, sous peine de faire fausse route. Faut-il encore la comprendre, pour imaginer s’y adapter.

 

Démissionner c'est communiquer

(Page 104)

La démission reste une décision lourde, professionnelle et affective, qui demande un travail de préparation.

Quel est le bon moment pour le faire ? Comment ? Quoi dire et écrire ? À qui ? L’employeur risque-t-il d’être en difficulté ? Quelle va être sa réaction ? Comment réagir à une contre-proposition intéressante ?

Tous les conseilleurs recommanderont, probablement à juste titre, de quitter en bons termes une entreprise et privilégieront une rupture aimable, à défaut d’être amiable. Ce sera d’ailleurs, heureusement, souvent le cas, d’autant qu’il arrive parfois d’être réembauché dans une entreprise dans laquelle on a déjà travaillé.

Faut-il, pour autant, chercher à protéger son patron ou sa DRH en choisissant un moment adéquat ? Faut-il par exemple bannir la veille du week-end ou de vacances pour éviter de leur gâcher le bénéfice du temps personnel qui s’annonce devant eux ? Peut-être. Ce sera assurément une délicatesse de votre part.

Si vous souhaitez aménager votre temps pendant votre période de préavis, voire négocier la durée de cette période de fin de contrat, ou plus généralement déroger à tout ou partie de vos conditions contractuelles de départ, probablement faudra-t-il éviter d’attirer trop de foudres sur vous et faire preuve, vous-même, d’une souplesse que vous souhaitez réciproque.

 

31 octobre 2017

BIOGRAPHIE DE L'AUTEUR - FREDERIC FOUGERAT

Frédéric Fougerat est un autodidacte, qui a accédé très jeune à des responsabilités pour se retrouver, après 30 ans d’activité, directeur de la communication d’Elior, un groupe international de restauration dans lequel son père fut chef cuisinier.

Frédéric Fougerat a découvert la communication au moment de la création des radios libres en France. DirCom à 20 ans, il a su apprendre au contact des autres et au fil de ses différentes expériences dans les médias, les collectivités territoriales puis le secteur privé.

Doté d’un sens de l’observation et de l’écoute particulièrement développés, il a été guidé par le bon sens et la bienveillance durant toutes ces années. Ni naïf, ni aveugle, très respectueux des autres tout en sachant se faire respecter, il a toujours cherché le positif en chaque circonstance, gardant à l’esprit le propos d’un sénateur qui, tentant de lui faire avaler une couleuvre, lui avait expliqué qu’il y avait du positif en toute situation, qu’il fallait savoir détecter et exploiter.

Son goût des autres l’a amené à développer des qualités d’empathie, indispensables au management et à la communication. Quant à son sens du partage, il le développe au quotidien auprès de ses équipes, en enseignant en école de communication, au travers de tribunes publiées dans la presse, et depuis quelques années sur les réseaux sociaux, son territoire d’expression de prédilection.

Après avoir abandonné ses études de droit, Frédéric Fougerat a fait un bref passage en radios libres, puis dirigé des cabinets d'élus locaux et de parlementaires pendant près de quinze ans. Et, depuis plus de quinze ans maintenant, il dirige des services communication d’entreprises, d’abord au niveau national : Vedior devenu Randstad, intérim et recrutement, puis au niveau mondial, groupe Geoservices racheté par Schlumberger, services pétroliers ; groupe Ethypharm, pharmacie ; groupe Altran (SBF 120), innovation et R&D. Depuis 2015, il est membre du comité de direction et directeur de la communication et de la RSE d’Elior Group (SBF 120), un des leaders mondiaux de la restauration collective et de concession. Il est également vice-président délégué d’Elior Group Solidarité, une structure créée pour initier, soutenir ou financier des actions de solidarité.

Nommé à de très nombreuses reprises dans des compétitions internationales, dont les European Excellence Awards, il y reçoit en 2009, pour Geoservices, le prix de la meilleure campagne de recrutement (Vienne), en 2013, pour Altran, le prix du meilleur blog de l'année (Munich), et pour Elior Group, en 2016, celui du meilleur rapport d’activité (Berlin) et en 2017 ceux de la meilleure campagne sur le changement, et de la meilleure campagne française. En 2014, en France, il reçoit à Euronext Paris un Climate Leadership Award, décerné par le Carbon Disclosure Project, et en 2017 un TOP/COM dans la catégorie du meilleur rapport d’activité pour une société cotée (Paris).

Frédéric Fougerat est officier de l’ordre national du Mérite. Les insignes lui ont été remis par l’ancien ministre de la culture et de la communication, Jean-Jacques Aillagon. Depuis 2016, il est également chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres. Ses insignes lui ont été remis par le chef cuisinier Guy Martin.

Avec son compte @fredfougerat, il est régulièrement n°1 du top 10 des directeurs de la communication les plus influents sur Twitter, en France, notamment selon le baromètre mensuel de référence MakeMeStats.

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31 octobre 2017

FREDERIC FOUGERAT - COUVERTURE DU LIVRE UN MANAGER AU COEUR DE L'ENTREPRISE

Frédéric Fougerat - Photo de la couverture du livre (fichier HD sur demande)

Manager_au_coeur_entreprise___Frederic Fougerat_3Mo

31 octobre 2017

QUATRIEME DE COUVERTURE DU LIVRE UN MANAGER AU COEUR DE L'ENTREPRISE

Photo de la quatrième de couverture du livre (fichier HD sur demande)

4e_Couv_Manager_au_coeur_entreprise_BD

31 octobre 2017

FREDERIC FOUGERAT + COUVERTURE DU LIVRE

Frederic_Fougerat___Couv_Un_manager_au_coeur_de_l_entreprise_HD

Frédéric Fougerat

Crédit photo : Benjamin Guillonneau

Photo libre de droits pour la presse

31 octobre 2017

FREDERIC FOUGERAT - Crédit photo : Benjamin Guillonneau

 Frédéric Fougerat (Photo)

Frederic Fougerat DIRCOM - credit Benjamin Guillonneau 3mo

Frédéric Fougerat

Crédit : Benjamin Guillonneau

Libre de droits pour la presse 

 

31 octobre 2017

FREDERIC FOUGERAT - Crédit photo : Patrick Gaillardin

Frédéric Fougerat - Photos de l'auteur

Frederic Fougerat - Dir Com Elior Group 2016 - Credit Patrick Gaillardin

Frédéric Fougerat

Crédit : Patrick Gaillardin

Libre de droits pour la presse 

 

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Un manager au coeur de l'entreprise - Frédéric Fougerat / Studyrama
  • Dossier de presse du livre "Un manager au coeur de l'entreprise" - Auteur Frédéric Fougerat, directeur de la communication du groupe Elior. Préface de Philippe Salle, président du groupe Foncia. Editions Studyrama - Sortie le 15 décembre 2017.
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